That boy is bad but I can’t stop staring in those evil eyes
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Illan N. Hurley br>
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✎ CREDITS : ⓒ Riddle ✎ MESSAGES : 114 ✎ AGE : Vingt-cinq ans ✎ CITATION :
I'm not listening to you. I am wandering right through, existance ,with no purpose and no drive cause in the end were all a lie. A lie. Bridge. Two thousand years I've been awake. Waiting for the day to shake. To all of you who wronged me. I am, I am a zombie. Again, again you want me. To fall on my head. I am, I am, I am a zombie. Hello, hello, hello you push me. To go, to go, to go before. I lie, lie down dead ♪
✎ ARRIVE LE : 01/11/2010
Sujet: That boy is bad but I can’t stop staring in those evil eyes Dim 14 Nov - 15:21
ILLAN NOAH HURLEY
We french kissed on a subway train. He tore my clothes right off. He ate my heart the he ate my brain. That boy is a monster.
AGE
STATUT
GROUPE
Vingt-cinq ans
Célibataire
The countryside's fresh air
SURNOM
Vous voulez vraiment lui donner un surnom minable ? Et bien, il faudra vous creuser la cervelle pour lui en trouver un.
date et lieu de naissance
Le 15 mars 1985 à Tewkesbury
ville d'habitation
Il est né à Tewkesbury. Il n'a jamais pu ou voulu partir de cette ville.
orientation sexuelle
Hétérosexuelle, mais tout est possible avec lui...
LISTS
avatar
Ian Somerhalder
A propos de toi
C'est OvertheRainbow qui vous parle (: Je dois avoir seize ans depuis quelques temps à présent, et je me dirige sur mes dix-sept ans. C'est super non ? *o* J'ai dois être accro au RP depuis plus de deux ans. A vrai dire, j'ai commencé très tard :/ Ce fut une grande découverte pour moi (Y) Que dire de plus ? Et bien, je suis votre adorable sadique administratrice qui racontera sans cesse sa vie et des trucs pas vraiment drôle.
personality
Je ne crois qu’en moi-même et surtout pas à vos petits ragots qui arrivent à vos oreilles comme une trainée de poudre. Je n’ai fois qu’en moi-même et seulement en cet homme que je suis devenu. Je m’aime et c’est déjà pas mal. Alors, il ne faut pas s’attendre à avoir des fleurs ou des chocolats de ma part. Vivre à la campagne me permet de fuir les gens et surtout de rester un homme très peu social qui est d’une froideur extrême envers les étrangers. Pourtant, je m’améliore avec le temps. A vrai dire, je n’ai pas vraiment pas le choix. Moi, je sais ce que je veux et j’arrive toujours à mes fins. Non, je ne cours pas après les filles malgré mon physique plus qu’avantageux. Ai-je oublié de dire que je suis amoureux de moi-même et que je suis un macho arrogant qui aime parler de lui ? Maintenant, vous le savez. En réalité, j’aime les femmes comme tout les hommes mais de loin. Une conception bizarre des relations hommes-femmes ? Non simplement, une façon de vivre. De toute façon, dès que je suis en pseudo manque, j’arrive à me trouver une fille, donc pas de problème. Je suis du genre à manger à n’importe quelle heure de la journée, juste pour le fun. Mais d’un autre côté, je suis très sportif ce qui arrange bien les angles. Que dire de plus ? Je suis bordélique, et un menteur professionnel. Dans la ferme, on m’aime ou pas. Mais, on ne reste pas indifférent. On pense que je suis un crétin vantard, macho, menteur, séducteur et profiteur. Finalement, les gens ne sont pas loin de la vérité. D'un autre côté, je suis aussi un homme drôle qui profite de la vie. Je pourrais être le pire des salauds comme le meilleur des petits amis si je le désirais. J'ai choisi mon camp : le mal. Pourtant, je suis encore loin d'être un démon.
Dernière édition par Illan N. Hurley le Dim 14 Nov - 15:57, édité 1 fois
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I'm not listening to you. I am wandering right through, existance ,with no purpose and no drive cause in the end were all a lie. A lie. Bridge. Two thousand years I've been awake. Waiting for the day to shake. To all of you who wronged me. I am, I am a zombie. Again, again you want me. To fall on my head. I am, I am, I am a zombie. Hello, hello, hello you push me. To go, to go, to go before. I lie, lie down dead ♪
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Sujet: Re: That boy is bad but I can’t stop staring in those evil eyes Dim 14 Nov - 15:21
It's my life, It's now or never
« Tu as vingt-cinq ans, et toujours pas de petite amie… C’est vraiment dommage pour toi et surtout pour moi et ta mère qui espérons tant avoir des petits-enfants. Tu vas nous faire ce plaisir avant qu’on disparaisse quand même ? » Pourquoi j’étais venu déjà ? Je savais pertinemment que ce sujet allait faire son apparition en voyant ma cousine avec son petit garçon de huit mois dans les bras. Son compagnon avait lève les voiles en apprenant sa grossesse et il avait bien raison de fuir des responsabilités bien trop lourdes pour les hommes qui ne méritaient que la liberté. Mes parents, c’était le genre de couple parfait avec une belle histoire digne des contes de fées. Combien de fois avais-je entendu ma mère me raconter sa rencontre avec mon père ? Aucune idée, certainement beaucoup trop. Les gens disaient que j’avais de la chance d’avoir mes parents encore en vie, en bonne santé et encore ensemble. Moi, je ne voyais pas vraiment ça d’un bon œil vu qu’ils attendaient avec impatience que je me trouve une jeune femme afin que je suive le même chemin qu’eux. Évidemment, je n’aspirais pas du tout à cette idée. Pourtant, mes parents m’avaient éduqué dans les règles de l’art en m’apprenant les bonnes manières ou la façon de se comporter avec les étrangers ou encore l’exemple d’un bon croyant. J’aurais pu devenir un homme comme mon père, gentil, adorable, attachant, naïf et si amoureux d’une seule femme qu’il ne s’autorisait pas à regarder les autres femmes. Alors, qu’est ce qui clochait chez moi ? Peut-être que je n’avais jamais voulu d’une vie ennuyante rempli d’hypocrite en tout genre et surtout cette sensation d’emprisonnement à cause du mariage. Au lieu de me montrer une image parfaite d’une vie de couple, ils avaient réussit à me convaincre sans le vouloir que cette vie n’était pas pour moi et que cette corde au cou de mon père finirait par le tuer. « Tu sais bien que je n’aime pas les enfants et que les femmes ne sont que des êtres de passages dans ma vie. » Que dire de plus ? Mes parents me connaissaient bien, peut-être trop bien. Ils avaient encore espoir que je me trouve quelqu’un avant leurs morts. Pourtant, les chances étaient bien minces à cause de mes préjugés sur les femmes, la vie et les enfants. Depuis toujours, on m’avait annoncé qu’on réussissait sa vie en ayant une famille, un travail et de l’argent. Moi, je n’ai jamais voulu voir les choses de cette façon. « Des fois, je me demande si tu es notre fils ! Ton éducation aurait dû t’apporter des bonnes valeurs ! Je suis sûr qu’il y a une histoire de fille derrière tout ça. » Mon père pouvait avoir raison sur beaucoup de chose, comme sur cette petite affirmation. Mais, je niais en bloque afin de ne pas recevoir la pitié de ma famille qui n’arrivait plus à me comprendre depuis l’âge de mes dix-sept ans.
« Illan, tu pourrais me passer mon sac à main, s’il te plaît ? Il est sur le lit. » Décidément, elle ne pouvait pas me laisser tranquille une seule seconde. En soufflant bruyamment afin qu’elle entende qu’elle me dérangeait en plein zapping, j’avais pris la direction de sa chambre. Sa maison ? Une sorte de grand château pour une ville comme la notre. Ses parents avaient toujours eu de l’argent grâce à des terres agricoles qui s’étendaient sur des kilomètres. Autant dire que les prétendants de la belle se précipitaient pour son argent comme pour sa beauté surnaturelle. Moi ? J’étais en quelque sorte son meilleur ami depuis l’enfance malgré nos différences qui avaient fini par nous rapprocher. En arrivant dans sa chambre, j’avais entrepris de prendre son sac avant de voir une photo sur son mur qui n’allait décidément pas me rendre très calme. Ma main arracha cette horreur avec violence comme une preuve de sa culpabilité, j’allais lui mettre ma trouvaille sous son nez en demandant des explications. Cependant, en arrivant dans le salon, je la vis, plus belle que jamais pour un rendez-vous avec l’un de ses prétendants. Alors, je décidais de cacher cette photo dans mon dos en lui tendant son sac de ma main gauche en lui souriant. Je n’avais pas eu le courage de lui dire qu’elle ne devrait pas être avec lui vu le bonheur qui s’affichait sur son visage en pensant qu’elle allait peut-être voir l’homme de sa vie. Elle était du genre sentimental. Ainsi, elle pensait voir des signes qui lui indiqueraient l’amour de sa vie. On pourrait la croire folle mais qu’importe, elle me faisait rire en la voyant s’exclamer devant un cadre qui n’était pas droit ou un vent violent qui soufflait lorsqu’elle était en compagnie d’un jeune homme. « Comment tu me trouves ? » « Franchement ? Très laide… Je croyais que tu avais rendez-vous avec ton futur amour mais il semblerait que tu partes en ballade avec shrek. » Elle me balança son sac à la tête avant de me faire un bisou sur la joue et de partir en son rendez-vous. J’avais décidé de partir en posant la photo sur le meuble du couloir. En rentrant chez moi, je ne savais pas que c’était la dernière fois que je la verrais...
« Comment est-ce possible ? » A présent, les larmes me montaient aux yeux. Pour la première fois de ma vie, j’étais impuissant et tellement triste d’être aussi faible face à sa mort. « Sa maison a pris feu à cause d’une fuite de gaz. » Un accident ? Je n’arrivais pas à y croire, même si c’était la cause la plus probable. J’étais avec mon téléphone dans la main, en train de faire un cauchemar qui allait s’avérer être une réalité bien monstrueuse. Sans attendre, je me précipitais à sa maison comme pour voir le massacre de mes propres yeux. Personne n’avait survécut, ni ses parents, ni elle. Elle était rentrée plus tôt de son rendez-vous pour une raison indéfinie. Je savais qu’elle n’aurait pas du être là et mourir de cette façon. Je n’en revenais pas. Elle n’était plus là et moi, je me sentais si seul en cet instant. Je n’avais que dix-sept ans à l’époque. Encore aujourd’hui, j’en garde des blessures qui ne se refermeront jamais. Pourquoi ? Je l’aimais … Mon premier amour avait fini par mourir avant même que j’ose lui dire ce que je ressentais pour elle. Alors, à présent, je savais que l’amour était trop dur, qu’il faisait souffrir sans raison. Non, je ne voulais plus vivre le même calvaire… Pourtant, le plus dur aujourd'hui, ce n'est pas tant de savoir que je ne la reverrais jamais mais plutôt que je retrouve ses traits sur le visage de cette fille qui pourtant n'a absolument rien n'avoir avec elle ...
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